The road trip - Carmel, Big Sur

Publié le par kate.rene

Vendredi 28, J12
Après le café, courses dans un petit market, gazoline et en route pour la mission de Carmel. Endroit vraiment charmant et pour les américains, nous imaginons que c'est un réel trésor historique.

Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !
Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !

Carmel, la Mission et une Marie-Madeleine, une !

Un peu plus loin Point Lobos où, paraît-il il faut s'arrêter. René fait la queue pour entrer... Mais ce n'est pas l'entrée, c'est un parking. Quelques 10 minutes après et 200 mètres plus loin, une guitoune à fric nous demande 10$ mais avec le sourire, et une petite erreur dans le change. La petite ballade ne nous coûte rien. Pause œufs et tomate. Et les animaux ne sont pas au rendez-vous.
Ça ressemble à Houat, mais c'est beaucoup trop fréquenté. Nous ne nous attardons pas. Direction Big Sur, juste à côté.

Point Lobos
Point Lobos
Point Lobos
Point Lobos

Point Lobos

Big Sur, arrêt au River inn pour trouver du whisky sans succès. J'y découvre la littérature de water closed américaine. Première inscription : "Big suck", la seconde : "I love you. I need You Jesus".

Miller à Big Sur
Miller à Big Sur
Miller à Big Sur

Miller à Big Sur

Préoccupation suivante, établir le camp de nuit à Pfeiffer State Park. 200 places mais il n'en reste que 4 ou 5 à notre arrivée. Magnifique camping dans la forêt, avec tables, bancs et énorme barbecue. De drôles d'oiseaux bleus avec une houppe viennent nous faire la conversation. Ça crie et ce n'est pas farouche. Nous préparons le feu et partons chez Emil, le pote de Miller, histoire de faire une visite de courtoisie. Y buvons un café, payons par paypal l'index des cahiers d'art acheté sur eBay et faisons l'acquisition d'un album vinyl de Lou Reed que René ne connaissait même pas. Lecture de Enterre mon cœur à Wounded Knee, yam et cuisson lente au feu de bois de la côte de bœuf achetée ce matin. Recadrage par un ranger : nous avons ramassé du bois mort dans la forêt et il paraît que c'est interdit. Il nous propose d'en acheter (10$ les 5 buches !). Une 'tite clope californienne, et yam jusqu'à la nuit noire. La côte de bœuf est une des meilleures que nous ayons mangées.

La côte de boeuf au Pfeiffer campground
La côte de boeuf au Pfeiffer campground
La côte de boeuf au Pfeiffer campground
La côte de boeuf au Pfeiffer campground
La côte de boeuf au Pfeiffer campground
La côte de boeuf au Pfeiffer campground
La côte de boeuf au Pfeiffer campground
La côte de boeuf au Pfeiffer campground
La côte de boeuf au Pfeiffer campground

La côte de boeuf au Pfeiffer campground

Publié dans voyages

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P
Beautiful walk on the wild side, ça fait rêver !
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K
Oui, plein les mirettes... Comment vont-ils, mes chéri(e)s des îles ?