Apocalypse, suite
La bête venue de la terre, avec deux cornes tel un agneau mais parlant comme le dragon, est une parodie malveillante du Christ, assimilée à un faux prophète : elle marque les gens sur la main ou sur le front. Elle incarne le système impérial dominant, le culte de l'empereur et le sacerdoce païen à son service qui menacent ceux qui refusent de se plier à ses règles.